SHURUPPAK, la cité du DELUGE
Publier un premier roman historique
Pitch
Hloden est né dans un village néolithique des Alpes il y a quarante-sept siècles. Nulle pyramide ne courtise encore le ciel d’Égypte, aucune ziggourat ne se dresse sur le sol de la Mésopotamie. C’est l’âge mystérieux où s’écrivent les premières légendes de notre Histoire.
Hloden a quitté ses montagnes pour vivre la période d’isolement qui marque l’entrée dans l’âge adulte. Mais lui ne s’est pas contenté de patienter dans les montagnes comme ses camarades, il a suivi le cours du Fleuve Bleu, découvert la mer et, de là, suivit des rivages inconnus jusqu’aux déserts du Moyen-Orient.
De sa rencontre avec le peuple le plus en avance de son temps, que les historiens appellent aujourd’hui les Sumériens, va naître une passion profonde pour cette culture raffinée des premiers âges ainsi qu’un amour tumultueux pour une jeune fille.
Hloden va aussi se lier d’amitié avec Ziusudra, prince de la cité de Shuruppak, en compagnie duquel il va vivre les vicissitudes de la guerre mais surtout un débordement cataclysmique de l’Euphrate, qui donnera naissance, des siècles plus tard, au mythe du Déluge.
Un roman d’aventure écrit à la lumière des dernières découvertes archéologiques sur cette éblouissante et pourtant si méconnue civilisation sumérienne. Les plus anciens textes bibliques se sont construits, deux mille ans plus tard, durant la déportation à Babylone des Hébreux, par copie des anciens mythes sumériens. La légende du Déluge est l’une de ces allégories fondatrices empruntées aux sagas sumériennes et en particulier à la plus célèbre d’entre elles, l’Épopée de Gilgamesh : on rencontre dans cette œuvre un certain Ziusudra, prince de la ville de Shuruppak, réputé avoir sauvé l’humanité du Déluge et dont les Hébreux se sont largement inspiré pour camper leur patriarche Noé.
PAS SEULS SUR LA TERRE
Trouver un éditeur pour un nouveau roman à publier
Résumé
Le roman raconte les souvenirs de colonie d’un adolescent dans les « années 70 ». Aventures, humour et poésie pour cette plongée dans l’univers de la prime adolescence.
« Yann se souviendra toute sa vie de ce premier été passé en colonie de vacances au cœur des années 70. D’abord parce que c’est la première fois qu’il quitte sa ville de Grenoble. Ensuite parce que le relais des Haleurs, situé en bord de Loire, est un véritable paradis pour les jeunes vacanciers. Mais aussi et surtout parce qu’il y a ce fleuve immense, brodé de légendes et semé d’îles sauvages, que l’adolescent émerveillé imagine peuplées de fantômes et de châteaux en ruines. La découverte d’une veille barque vermoulue dissimulée sous la végétation sera à l’origine de la plus incroyable aventure de sa jeune existence, qui lui permettra de s’épanouir dans l’adversité. »
ARCHIPEL
Publier un premier roman de science-fiction
Pitch
Lorsque Grenn ouvre les yeux, il ne se souvient de rien d’autre que de son prénom et de quelques images surprenantes qui paraissent remonter à la préhistoire. Il est sur un chapelet d’îlots marécageux hantés par des prédateurs féroces, où survivent un groupe d’hommes et de femmes, tous amnésiques comme lui. Ces derniers ont appelé ce lieu l’Archipel, sans savoir ce qu’ils font là ni sur quel monde du système solaire ils ont échoué. En compagnie de quelques compagnons téméraires, Grenn refuse de sombrer dans le fatalisme et prend tous les risques pour tenter de quitter cet endroit.
Rob Oxham, un ancien cybernaute vétéran de la guerre des Phalanges, est conducteur de travaux sur la première colonie spatiale destinée à quitter le système solaire. Ce projet titanesque prévoit d’envoyer un vaisseau au-devant d’une civilisation inconnue, entrée en contact avec l’humanité quelques décennies plus tôt. La vie réglée de Rob bascule dans une dangereuse course-poursuite lorsqu’il rencontre une étudiante de trente ans sa cadette et échappe en sa compagnie à une inexplicable tentative d’assassinat.
Rien ne semble destiner Rob et Grenn à se croiser. Pourtant, leur rencontre improbable modifiera à jamais le cours de l’Histoire...
Un techno-thriller de science-fiction mené tambour battant.
Géopolitique du système solaire à l’aube du XXIVe siècle
Les donjons de l’Isère vus du ciel
Réaliser un nouvel ouvrage sur les châteaux forts
Résumé
Une centaine de nouveaux dessins, réalisés à partir des vestiges et des documents d’archive, pour une promenade tout en image au-dessus de la forêt de donjons hérissant jadis le cœur de l’ancienne province Dauphinoise.
- l’une des nombreuses maquettes en carton réalisées à partir des relevés sur le terrain. Elles sont destinées à faciliter ensuite la réalisation de dessins de reconstitution aussi fidèles que possible.
- esquisse du dessin tiré de la maquette
Des modèles réduits pour mieux comprendre l’histoire castrale !
Des châteaux forts (la Ferté Fëanor et Torchefelon) dans le pré…
Réalisation de deux modèles réduits de châteaux forts (en briques réfractaires), supports idéaux pour former et informer les enfants sur l’évolution castrale au fil des époques.
- : Les deux modèles réduits (Torchefelon à gauche, la Ferté Fëanor à droite)
- Exposé sur les châteaux forts en Isère, janvier 2015
- Eléments d’architecture castrale : un exemple, les créneaux (ouvertures pour tirer sur l’ennemi) et les merlons (parties du parapet situées entre deux créneaux)
A la recherche des Trésors archéologiques perdus
Mettre à jour des vestiges inconnus pour les faire connaître au plus grand nombre et rendre possible leur référencement par la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC)
Reportage FRANCE 3 sur ce sujet
Ma plus belle découverte 2016, en Isère :
Un vaste ensemble protohistorique situé dans le hameau de Cossey, sur la commune de Claix, qui semble être une nécropole gauloise à incinération datant d’une période située entre le IVe et le IIe siècle avant notre ère. Présence d’une quarantaine d’enclos funéraires mesurant 5 à 20 mètres
- Photo satellite d’une partie du site
- Reconstitution d’un enterrement gaulois dans une tombe monumentale (maquette P. Guéneau)
PETITE HISTOIRE DU BOUCLIER
Réalisation de boucliers destinés à raconter notre Histoire au travers d’évènements culturels.
Indissociable de l´équipement du combattant à travers l'histoire, le bouclier remonte au moins à l'époque sumérienne en Mésopotamie, il y a 5000 ans. Il n'a cessé d'évoluer et de se diversifier au gré des besoins et des techniques. Le nom est probablement issu du bas latin bucularium, buculerius ou buclarius, qui devient ensuite escut bucler " écu garni d'une bosse ". S´il est resté en usage dans l´infanterie jusqu´à la fin du XVIème siècle il a définitivement disparu dans la cavalerie au milieu du XVème siècle, rendu obsolète par l'aboutissement de l´armure complète à l´exception de certaines occasions telles les joutes et les tournois.
- BOUCLIER VIKING DU 9e SIECLE
En bois peint. Umbo métallique fonctionnel sur l’avers. Cerclage en rawhyd cousu. Manipule en bois et guiche de portage en cuir sur le revers.
- BOUCLIER VIKING DU 10e SIECLE
En bois peint. Umbo métallique fonctionnel sur l’avers. Cerclage en rawhyd cousu. Manipule en bois et guiche de portage en cuir sur le revers.
- BOUCLIER NORMAND DU 11e SIECLE
En bois cintré. Couvert de toile de lin peinte et ornée d’un umbo métallique ornemental sur l’avers. Cerclage en cuir cloué. Coussin en lin et énarmes de portage au bras plus guiche de portage à l’épaule en cuir sur le revers.
- BOUCLIER DAUPHINOIS DU 14e SIECLE (APRES 1349, DATE DE CESSION A LA France)
En bois peint cintré. Cerclage en cuir cloué. Coussin en cuir et énarmes de portage au bras plus guiche de portage à l’épaule en cuir sur le revers.
- BOUCLIER DU 15e SIECLE (ADAPTATION LIBRE DE L’ECU DE BAYARD)
En bois peint cintré. Cerclage en cuir cloué. Coussin en cuir et énarmes de portage au bras plus guiche de portage à l’épaule en cuir sur le revers.